LE SUCRE ET MOI: MON AMI/MON ENNEMI
Que ce soit pour un souper d’anniversaire, une collation <<méritée>> après un gros effort ou, encore, pour une envie irrésistible, le sucre est partout. Utilisé sous diverses formes, il prend une place majeure dans notre assiette et, tranquillement, dans notre société.
Coke, pâtisseries, chocolatines, café moka, jus d’orange et coeurs à la cannelle, ses produits dérivés sont partout. Apprêté de plusieurs façons, sa présence cause de fortes répercussions. Au niveau alimentaire, il est l’un des plus grands précurseurs des maladies cardio-vasculaires et héréditaires (diabète de type 2), au niveau social, il cause de nombreux préjudices, alors qu’au niveau monétaire, il surpasse tout.
Les ventes dérivées des produits sucrés sont faramineuses. Le chiffre d’affaires de PEPSI, cette multinationale qui comprend plusieurs petites entreprises est très élevé. En effet, PepsiCo est en 2012 la deuxième entreprise agroalimentaire du monde et la première entreprise agroalimentaire d’Amérique du Nord par son chiffre d’affaires (65,5 milliards de dollars) et la cinquième par le bénéfice net (6,46 milliards de dollars), après Nestlé (U.S. & Canada), Coca-Cola Co., Anheuser-Busch InBev et Sunkist Growers1. (source ici)
Ces chiffres me font réagir, car ils illustrent le vrai côté de cette drogue. Car, oui, le sucre est une drogue et elle crée de graves dépendances. L’article Drogue Douce, publié le 18 mars 2016 dans le Devoir m’a fait réfléchir.
Pâques s’en vient, les chocolats aussi.
La privation n’est pas à recommander, mais une limite de chocolat peut, par contre, être imposée.
Joyeuses Pâques et amusez-vous en famille ❤
Stéphanie 🙂
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courriel: stephaniedm10@hotmail.com
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